Le fonctionnement de la signature électronique est basé sur une cryptographie à clé asymétrique ou publique et privée:

• Chaque part a une paire de clefs, une il s'use pour chiffrer et l'autre pour déchiffrer.
• Chaque part maintient en secret une des clefs (clef privée) et il met à disposition du public l'autre (clef publique).

À suite nous décrivons ce que il réalise le logiciel de signature du signataire et du destinataire du message signé:

1. D'abord, le signataire calcule le "hash” de son message. Le "hash” est le résultat d'une opération que se réalise sur le message que donne lieu à un ensemble de données de taille fixe (indépendante de la taille du message), qu'a la propriété d'être associé au message, de telle sorte que dans le stage est impossible trouver deux messages divers qu'ils génèrent le même “hash”. Par tellement, le "hash” est exclusif du message que l'a généré. Ce "hash” a l'avantage de que il a l'habitude d'être beaucoup plus petit que le message.
2. À suite, le signataire chiffre le "hash” du message avec son clef privée. Celle-ci est la signature électronique que s'adjointe au message original, et que seulement le signataire peut générer, donc il est l'unique que connaît sa propre clef privée.
3. Le destinataire, au recevoir le message, il d'une part calcule de nouveau le "hash” du message qu'a reçu, et par autrui, déchiffre la signature adjointe en utilisant la clef publique du signataire, en obtenant le "hash” que le signataire a calculé. Si tous les deux coïncident, il signifie: que le message reçu a été envoyé par le signataire (donc a été déchiffré avec la clef publique du signataire, l'unique que peut déchiffrer le chiffré avec son clef privée); qu'il n'a pas été manipulé (donc les “hashes” coïncident et nous avons indiqué que deux messages différents ne peuvent pas produire le même “hash”), et puis, le signataire ne pourra pas nier sa responsabilité, donc il est l'unique que peut y avoir @crear la signature électronique (est l'unique que connaît son clef privée).

Le ministère des Finances et de l’Administration publique a mis au point une application de signature électronique (AutoFirma) qui met à la disposition des utilisateurs à l’adresse:

https://firmaelectronica.gob.es/Home/Descargas.html.

En Espagne, la signature électronique est un terme juridique inventé dans la loi 59/2003 de la signature électronique. Par conséquent, il a des effets juridiques. En dehors du contexte juridique, et en particulier dans le domaine technique, il existe de nombreuses définitions des deux termes et sont souvent utilisés comme synonymes.